
La justice, je me suis toujours demandé pourquoi on l’a représentait les yeux bandés. Il est vrai qu‘entre gens de bonne société, on peut toujours s’arranger. C’est un bel exemple à donner à nos enfants. Si tu vas dans un magasin avec l’intention de voler quelque chose, n’oublie pas de prendre quelque argent avec toi. Si tu te fais prendre, tu pourras toujours par la suite l’acheter. L’argent est un passe droit qui vous évite de passer par la case justice, voire prison si affinités. À méditer ou pas
Alconick le korrigan


Afrique
Pour ma part, je ne pense pas que tous les candidats à la présidence de la république rêve de ce poste. On peut très bien prétendre à cette fonction avec pour seule ambition de faire changer et évoluer les choses de la vie publique et du quotidien. La politique concerne tous les citoyens, au quotidien et non pas seulement aux échéances électorales. Pour une fois que l’on aura une candidate qui n’aura jamais eu à répondre de ses actes devant la justice, il faut en profiter.
La politique dans les pays démocratiques est réservé à des initiés aux pratiques quelques peu ésotériques. C’est un pré carré dont l’accès est jalousement gardé. Malheur! À tous ceux qui voudraient s’y inviter.
Là, cette candidate de part sa probité n’aura rien à craindre de ses adversaires. Aucun bruit de casserole ne viendra perturber sa campagne.
J’adhère aux idées des verts, et pour une fois qu’ils ne sont pas désunis, profitons en.
De plus, si Madame Éva Joly pouvait redonner à la justice sa véritable fonction, rendre la justice, tous ceux qui se sentent au dessus des lois et qui l’enfreignent avec la bénédiction du système hésiterons peu être davantage.
La justice qui lave plus blanc que blanc: Y’en a assez!
Alconick le korrigan




Aujourd’hui, je suis parti manifester à Quimper. C’est la deuxième fois de ma vie que je défilais dans un cortège de manifestants. La première fois, c’était pour le maintien des services de maternité et de chirurgie dans mon hôpital de Carhaix. Nous avons réussi à les sauver pour l’instant, mais pour combien de temps encore ?
Je ne suis pas contre les réformes, mais il faut qu’elles soient fiables, viables et justes. Il y a deux ans, le président candidat assurait qu’il ne toucherait pas à la retraite à 60 ans. Aujourd’hui, c’est devenu sa plus grande priorité. La crise a bon dos. Quand le prix du blé augmente, la baguette augmente. Quand le prix du blé baisse, le prix de la baguette ne bouge pas. Aujourd’hui, il y a un taux de chômage exponentiel, mais si demain, avec une autre politique, le chômage venait à baisser, les caisses de cotisations se referaient une santé.
Le président veut combler le trou de la sécurité sociale. Il ferme des services de soins, dérembourse certains médicaments, ce qui augmente le prix des mutuelles, etc. Mais le trou de la sécurité sociale ne se comble pas davantage, au contraire. Il veut résorber la dette publique, il supprime des fonctionnaires, arrête de verser certaines subventions, ferme tous les robinets. Pourtant, la dette ne cesse de se creuser. Il veut lutter pour le pouvoir d’achat. La précarité, et la paupérisation généralisée ne cessent de s’étendre dans toutes les couches sociales. À part les banques, qui ont fait des bénéfices record et les plus riches qui n’ont jamais gagné autant d’argent, ce système bénéficie de tout mon désaccord.
Moi, si je pouvais exaucer une seule prière, je demanderais à notre cher président de ne plus toucher à rien.
Car pour l’instant, tout ce qu’il entreprend, et réalise est pire qu’avant
Bon, en attendant des jours meilleurs, je fais finir de lire mon parisien
Alconick le korrigan

Jeudi 23 Septembre
Manifestation pour les régimes de retraites
Il serait illusoire de penser que le seul fait de reporter l’âge légal du départ à la retraite résoudrait le financement des retraites. Déjà, pour espérer avoir une retraite à taux plein, il faudra attendre d’avoir soixante cinq, soixante sept ans. Sans compter que ce système sera déficient dans dix ans. Aujourd’hui, il est difficile de rentrer dans le monde du travail, de même, il est très difficile, voire impossible, de retrouver un emploi passé cinquante cinq ans, surtout pour les femmes. Je voudrais que tous ceux qui sont pour cette réforme en l’état, se reportent dans trente ou quarante ans, et s’imaginent quand, usés, désabusés, travaillant dans un emploi pénible et sans intérêt, ils verront leur petits fils de vingt cinq ans, au chômage, venir les taper d’un petit billet. Mettons d’abord les chômeurs aux travails, et les caisses de retraites se rempliront





France-Roumanie
roms au centre

Je pensais que le président de la république française était le représentant de tous les français. Hors, à ce que je peux lire, entendre et voir, c’est loin d’être le cas. Je ne me souviens pas d’avoir connu de telles dissensions dans la société. Personnellement, je ne comprends pas les gens qui excusent ou cautionnent tous ceux qui violent la loi, ou la détournent en leur faveur, ou en jouent et en abusent. Même si parfois cela n’effleure que l’éthique, cela égratigne nos valeurs, liberté égalité fraternité. De même, je pensais que le président de la république française représentait la France à l’étranger. Hors, ce n’est pas le cas. Je ne me souviens pas, hormis les périodes sombres de notre histoire: 1930-1940 avoir entendu, et lu, autant de critique envers la France, et cela de pays, qui hier encore se disaient être nos amis et alliés. En relisant les vieux articles des années trente, j’y ai vu la crise boursière américaine, la faillite des banques, le chômage augmenté, le racisme s’enraciner. À la fin des années trente, une guerre mondiale ravageait le monde.
Dans ce monde ci, les plus forts étaient les rois
L’âne s’y sentait bien, car plus faible il trouvait
Il s’était fait des biens, sur son bat il portait
Le fardeau pour les siens, essentiel il était
L’âne était heureux d’être accepté dans la cité
Il voyait en cela tout le fruit de son labeur
Sur son bat, lourd, les victuailles pour cette société
Il pensait qu’ainsi, il trouverait tout son bonheur
Dans ce monde de nantis, malheur aux démunis
L’âne trimait dur, mais peu d’argent il gardait
Salaire sitôt prit, fin de mois était parti
Car ses bons maîtres, insatiables, le lui reprenait
Il était tranquille, les plus petits étaient nombreux
Il s’amusait que ses maîtres s’en prennent à ces gens là
Il était habile, il pensait être plus utile qu’eux
Maintenant il faisait parti de cette élite là
L’âne ne pipait mot, trop fier de son boulot
Pensez! Il s’était fait une sacrée renommée
Il se levait tôt; pour porter tout son fardeau
Imaginez! Une société sans ouvrier
Mais quand toutes les provisions apportées furent finies.
Le renard voyait les regards noirs se dessiner
Alors, il accusa l’âne d’avoir abuser de ses nouveaux acquis
Et il décidait tout seul de les revoir et de les supprimer
Mais quand ses maîtres, eurent mangé les plus petits
Les ventres inassouvis vers l’âne se retournèrent
Lui en train de paître, à nourrir son appétit
L’asservi croyait en un avenir prospère
L’âne cherchait alentour quelqu’un de plus petit
Mais, c’était lui maintenant le plus vulnérable
Il ne restait que lui pour combler ces appétits
Lui hier se croyait riche aujourd’hui misérable
Si pour vivre on doit trouver plus petit que soi
Afin de se sentir dans le carré des dieux
Sache que jamais ces gens ne voudront de toi
Te chasseront au pire, exploiteront au mieux

Je ressens un certain malaise quand je lis les informations Française. J’ai l’impression de relire de vieux articles des années trente. Je suis mal à l’aise quand je vois stigmatiser toute une population entière. Peut-on condamner des êtres pour leur seule origine. La France est-elle toujours le pays des droits de l’homme.
