Le Jugement dernier

C’est article est consacré au jugement dernier.

Je suis parti revisiter des vieux mythes du monde du ciel et de la terre. J’ai pris comme base les mythes du serpent, et du dragon, et des divinités célestes. Je me suis servi de WikipédiA entre autre, comme source. Oui je sais ! C’est facile de copier/coller. Mais je précise bien que je m’en suis servi que comme source. Merci encore à WikipédiA pour cette caverne d’Ali Baba du savoir et à ses sources

Ma thèse est quand à elle de moi.

Mon travail a constitué à rassembler en un article plusieurs documents pour en faire une synthèse. J’ai une théorie sur le sujet, que j’aimerai développer ici. Je

suis parti d’Asclépios, le célèbre médecin grec. Dans la mythologie grec, Asclépios, médecin de son état, avait un jour tué un serpent. Mais telle ne fut pas sa surprise, de voir un autre serpent venir réanimer son congénère avec des plantes. Asclépios récupéra ce mystérieux animal. Depuis ce jour là, il ne fit que s’élever dans son art, au point de pouvoir, lui aussi, un jour réanimer les morts. Hadès, dieu des enfers, craignant de ne plus recevoir d’âme, convint Zeus de foudroyer ce médecin et de condamner les hommes à mourir un jour. Dans une autre version, Asclépios meurt foudroyé par Zeus en colère. Son crime est d'avoir tenté de ressusciter les morts grâce à du sang de la Gorgone (famille des méduses et des Grées) que lui a remis Athéna: le sang qui coule du côté gauche est un poison violent, alors que celui du côté droit est un remède merveilleux. Dans ces deux versions, il est fait mention de serpents, d’anguipède ou de reptiles. Zeus, pour saluer les talents de ce médecin, le plaça dans le ciel. Il devint la constellation du serpentaire, et le treizième signe du Zodiaque. (Voire article sur ce sujet). Le signe du serpentaire se situe entre le Scorpion et le Sagittaire. Pendant cette période, notre planète est frappée par un vent en provenance des étoiles ! Il s'agit d’un gigantesque nuage de poussières radioactif, riche en hélium. Il traverse le système solaire en provenance de la direction du Serpentaire. La masse de notre Soleil, heureusement, concentre gravitationnellement la matière portée par ce vent en une forme conique et spiralée. La Terre est balayée par ce nuage durant les premières semaines de décembre. Mais c‘est sans danger pour la vie sur Terre, précise le physicien George Gloeckler, de l'Université du Maryland. 

En 2012, les planètes du système solaire, en rotation autour du Soleil, se retrouveront exceptionnellement alignées. Toutes leurs attractions se cumuleront pour former un gigantesque siphon. Quand, elles passeront dans la 13ème maison du Zodiaque, les nuages cosmiques de cette région du ciel, seront irrésistiblement attirés vers le centre du système solaire en passant pas ce siphon. Toutes les planètes seront traversées par ces nuages. Comme dans l’article précédent (la fin du monde) les spécialistes s’accordent à penser que tous les nuages cosmiques qui gravitent dans notre galaxie n’ont pas tous la même densité. Certains sont très drus, et d’une température proche des 6.000 degrés. Imaginez un tel nuage, aspiré par l’attraction des huit planètes, et les dommages qu’il pourrait produire, en traversant l’atmosphère terrestre. J’ai parlé des signes du Zodiaque, qui rythme notre année solaire, mais je voudrais également parler des ères zodiacales (voire la précession des équinoxes) qui se produit, plus ou moins tous, les 25.800 ans. Quand la Terre rentrera dans l’ère du Serpentaire, elle présentera son équateur à angle droit à la constellation du Serpentaire. Elle prendra donc de plein fouet le vent stellaire. Ce ne serait pas la première fois que la Terre subie de tel désastre. Elle a déjà connu cinq extinction de masse ou la vie à bien failli disparaître définitivement (Lire la 6ème extinction, de Leakey Lewin, le célèbre paléontologue) je parle de nuage, mais bien évidemment, tous les astéroïdes des plus petits aux plus gros seront également aspirés dans ce siphon. Qu’arrivera-t-il de nous? Bonne question, meilleure que la réponse, je le crains.

Je crois en une conscience collective, héritage de notre instinct ancestral, enfouie au cœur de notre subconscient. Commençons par le commencement.

Dieu condamna l’homme à devenir mortel en le chassant du paradis. Tout cela à cause d’un serpent qui persuada Ève de croquer la pomme du savoir. On peut en déduire, qu’avant, l’Homme était immortel auprès de ce serpent, ou que le serpent est le début d‘une longue chaîne de la vie. En croquant, ou en mangeant la pomme du savoir, Ève suit le serpent dans le monde de la vie: elle devient mortelle. Le serpent serait le symbole de la vie, plus ou moins longue, qui se perpétue en muant, ou en se reproduisant. Le porteur de serpents serait donc le porteur de la vie, mais qui dit vie, sous entend la mort. Celui qui donne la vie, ou qui perpétue la vie, comme le fit Asclépios dans la légende, engendre également la mort. Asclépios était là le premier jour pour souffler la vie à Ève, mais il sera là, également le dernier jour pour, clore la boucle. Chez les égyptiens, Horus se bat contre un serpent. Horus est le fils d’Isis, dieu égyptien. Isis a été tué par Seth. Il est curieux de remarquer qu’un dieu puisse mourir. Il a perdu ses privilèges. Horus est représenté comme le premier Pharaon (un simple mortel ?) Osiris et Isis seraient-ils l’Adam et Ève ? Horus est devenu le premier homme en tant que premier pharaon. Auparavant, c’était une divinité qui se battait auprès de contre Apophis le serpent du chaos et de la fin du monde. Chez les grecs, dans la Gigantomachie, les dieux sont en guerre contre des géants anguipèdes (des personnages anthropomorphes avec un bas du corps finissant en queue de serpent ou en poisson) c’est le symbole du combat des forces célestes contre le monde terrestre. Dans la mythologie asiatique c’est Garuda, l’aigle géant qui combat les serpents Nâga, qui possèdent aussi des attributs humains. Les séraphins sont des êtres fantastiques, représentés de façon anthropomorphe avec des attributs d’oiseaux et de serpents. Ils se battent auprès de dieu contre les forces maléfices de la terre. Remarquez déjà que dans tous ces exemples, c’est le combat des dieux ou dieu, univers céleste, contre les représentants de la terre des vivants, ou des profondeurs de la Terre. Continuons, notre prospection, nous voyons là le combat, toujours mortel entre le monde aérien, céleste, des êtres ailés, contre le monde de la terre, par des personnages rampants. Nous autres humains, avons plus l’habitude du monde de la terre que celui des nuages et du ciel, nous sommes des terriens, et pourtant, nous avons toujours le mauvais rôle. Les dieux, immatériels, finissent toujours par vaincre. Rappelons que pour les grecs, les morts descendaient au cœur de la terre dans le monde d’Hadès. Le ciel est le domaine des dieux, et l’homme n’y aura jamais accès. Même dans les religions monothéistes, le monde de l’au-delà n’est pas situé au ciel, bien que cette expression soit courante. On parle plutôt d’un autre monde, ou du monde de l’au-delà. Dans la mythologie celtique et nordique, on parle de Balor. C’est un dieu hideux cyclopéen. Certains le décrivent comme un géant monstrueux personnification du chaos, et de la destruction. Il fut vaincu par Lug, son petit fils. Lug est la divinité du ciel.

Saint Michel est un personnage de premier ordre dans les religions monothéistes: il porte le titre d’Archange. Ce nom vient de l’hébreu: Qui est comme dieu. EL voulant dire dieu Mi Cha qui est comme. Déjà, quelque chose m’intrigue. Comment peut-on se comparer au Dieu unique ? Serait-ce une divinité d’un autre culte que l’on aurait incorporé dans le récit biblique ? Probablement. Sinon, on ne lui aurait pas donné le titre honorifique de celui qui ressemble à Dieu, ou pareil que dieu. Déjà, il porte des attributs d’oiseaux: des ailes, comme toutes les créatures qui combattent le monde de la terre : Horus, Garuda, les sphinx, les séraphins. On le représente souvent terrassant le dragon…? Cela confirme mon intuition. Il a également comme charge de soupeser l’âme des morts le jour du jugement dernier. Il est dit dans la bible, que le dernier jour de l’humanité, les morts ressusciteront avant d’être jugés. Les bonnes âmes iront au ciel, tandis que les mauvaises iront au cœur de la terre.

L’anguipède est un personnage anthropomorphe finissant avec une queue de serpent ou de poisson. Le cavalier à l’anguipède représente un cavalier sur son cheval portés sur son dos par un anguipède. Généralement, pour ne pas dire systématiquement, ce cavalier est la figure d’une divinité: Zeus le plus souvent. Cela nous montre la vie (le long serpent) qui porte un cheval, donc qui l’emmène (le cheval est le symbole du temps qui passe comme un cheval au galop) chevauché par la spiritualité, dieu (symbole de l’âme) L‘anguipède est le symbole de la vie, de sa naissance, à son passage dans l’autre monde. Pour autant qu’il y en ait un, bien que le néant, peut également se comparer à un autre monde, par rapport au monde réel du vivant.

Faisons ici le point. Adam fut créé à l’image de Dieu, il devint mortel, il mourut donc un jour, et cela à cause d’un serpent. Tout comme Saint Michel qui ressemble à dieu, et qui, à cause d’un serpent prive l’humanité de l’immortalité. D’ailleurs, c’est lui qui est chargé de juger la dernière âme. C’est preuve que le dernier jour de l’humanité est arrivé quand il oeuvre. La vie se transmet de génération en génération, elle est donc immortelle. Sauf si on coupe cette chaîne qui ressemble à un long serpent.

Le serpent d’Asclépios réanimait les morts, ainsi qu’Asclépios. Zeus foudroya Asclépios, (l’humanité), ainsi que le serpent: la vie. Toutes ces mythologies se ressemblent, elles parlent de la fin du monde.

Quand la terre rentre dans la maison du Serpentaire, celle-ci est balayée par des vents cosmiques venant de la direction du Serpentaire. Ce peut-il que le mythe d’Asclépios et de son serpent se réalise en décembre 2012? Quand toutes les planètes seront alignées. Ce peut-il que la Terre soit frappée par un grand cataclysme et qu’Asclépios, ou Saint Michel ressuscite les morts afin de les juger le dernier jour de l’humanité ? À moins qu’ils aient perdus tous pouvoir et qu’ils assistent, impuissants, à la destruction du monde. Asclépios brisera alors son caducée devenu dés lors inutile

Tous ces mythes se ressemblent tellement que cela en devient troublant

 

 

 

Persée tient la tête de la Gorgone 

Le cavalier à l'Anguipède

Le roi Breton à Quimper

 

 

 

 

Mithra, Soleil invaincu, actuellement exposé au Vatican

 

Source WikipédiA entre autres

Dragons, Serpents mythologiques, Anguipèdes

Mythologie égyptienne: Horus dieu faucon fils de Rê est l'adversaire d'Apophis le serpent.

Mythologie asiatique: Garuda aigle géant combattant les serpents nâga. Symbole de vie et de puissance en Chine.

Les plus anciennes traces connues remontent à 6000 ans environ, dans une tombe néolithique de Xishuipo, site archéologique de la province du Henan, en Chine : formée de coquillages, sa forme se détache nettement aux côtés du défunt. La découverte de cette tombe date des années 1980

Une autre représentation, vieille de 2500 ans, constituée de briques de couleur, fut découverte sur les murs de la porte d'Ishtar, une des monumentales portes de Babylone.

Il est d'ailleurs décrit comme un animal fantastique avec des griffes de lions, des ailes et une queue de serpent dans le Larousse les anciennes créatures chthoniennes à l'allure de serpent des mythologies indo-européennes : Apollon combattait Python. Krishna rivalisait avec Kaliya (manque de source !),

Dans la croyance des Aztèques le serpent bénéficiait d'un statut important de par, entre autres, sa capacité à muer. On retrouve la racine coatl (serpent en nahuatl) dans le nom de plusieurs divinités : Cihuacóatl (femme serpent) ou Coatlicue (la dame aux serpents) mais également Quetzalcóatl (serpent à plumes, aussi présent dans la mythologie maya par exemple, sous le nom de Kukulkan) ou Mixcoatl (serpent de nuages) dans lesquels se remarque un caractère beaucoup plus aérien par les qualificatifs employés.

 

 

Seth représente la violence et le chaos, Horus pour sa part incarne l’ordre et, tout comme pharaon, il est l’un des garants de l’harmonie universelle ; cependant, il ne faut pas réduire la théologie complexe des Égyptiens à une conception manichéenne du Bien et du Mal, car, dans un autre mythe, Seth est l’auxiliaire indispensable de Rê dans son combat nocturne contre le serpent Apophis. Bien et mal sont des aspects complémentaires de la création, tous deux présents en toute divinité.

Isis est le nom grec d'Aset (ou Iset), la déesse protectrice et salvatrice de la mythologie égyptienne. Elle fait partie de la grande Ennéade d'Iounou (Héliopolis).Isis semble avoir été aux temps anciens la personnification du trône ; son nom en hiéroglyphes Iset, signifie le siège. Dans les inscriptions, elle est représentée sous les traits d'une femme coiffée d'un siège (qui ressemble à un escabeau à trois marches). Plus tard, sa représentation change ; on la voit comme une femme portant les cornes de la vache enserrant un globe lunaire (À ne pas confondre avec Hathor).

Apophis (ou Apopis) est un dieu de la mythologie égyptienne.Dieu des forces mauvaises et de la nuit, personnification du chaos, du mal cherchant à anéantir la création divine. Son nom Aapep ou Aapef (en égyptien) signifiait « géant » ou « serpent géant ». Il est représenté justement sous la forme d'un serpent gigantesque qui s'attaque quotidiennement à la barque de Rê voguant sur le Noun, afin de mettre fin au processus de la création, mais il est chaque fois vaincu. Chaque lever du soleil marquait ainsi la victoire de Rê sur Apophis.

Rê était aidé pour repousser Apophis par d'autres divinités : Seth était désigné par Rê pour défendre la barque divine à l'aide d'un harpon, Isis, à l'avant de la barque solaire, utilisait ses pouvoirs pour priver Apophis de ses sens dans le but de le désorienter, ce qui permettait au chat de Rê, personnification de la déesse Bastet, de décapiter le serpent. Dans des rites destinés à repousser Apophis et les autres puissances nuisibles, des petites figurines sur lesquelles était gravé le nom d'Apophis étaient jetées au feu. On trouve fréquemment des images d'Apophis ligoté et transpercé de flèches

Garuda (aigle en sanskrit) est un oiseau fabuleux de la mythologie hindouiste et bouddhiste, fils de Kashyapa et de Vinatâ et frère d'Aruna, le conducteur du char de Sûrya. C'est le vâhana ou véhicule de Vishnu.Garuda peut aussi être vu comme un aigle géant mythique, ennemi aérien naturel des nâgas, serpents des eaux et de la terre. Mais Nâga et Garuda ne sont en fait que deux incarnations de Vishnu, les deux aspects de la substance divine, en qui ils se réconcilient.Garuda est l'emblème de l'Indonésie. Le personnage, comme bien d'autres références culturelles indiennes est toujours vivant dans la culture

Xishuipo est un site néolithique situé dans le Puyang, Henan, en Chine, associé à la culture de Yangshao. Ce site fut excavé de 1987 à 1988; 186 tombes y furent découvertes.Dans l'une des tombes (la tombe M45), le corps d'un homme de grande taille était entouré de deux mosaïques formées de coquillages blancs fixés dans le sol. Un tigre à sa droite et un Dragon chinois à sa gauche. Des mosaïques de coquillages furent aussi découvertes dans deux abris situés à proximité. La tombe était complétée par le corps de trois jeunes enfants. Certains archéologues pensent que l'homme était un shaman.

Dans la mythologie grecque, Python (en grec ancien Πύθων / Pýthôn) est un serpent monstrueux, fils de Gaïa (la Terre), ou bien d'Héra selon les traditions. Sa filiation avec Gaïa montre qu'il s'agit aussi d'une ancienne divinité chtonienne.Il veillait sur l'oracle de Delphes, consacré primitivement à Thémis. Apollon le perça de ses traits, se rendant ainsi maître de l'oracle, depuis nommé « Pythie » ; et pour apaiser la colère de Gaïa, il créa les Jeux pythiques.Macrobe, dans les Saturnales, écrit que Python pourchassa, sur l'ordre d'Héra, Léto, la mère d'Apollon, lorsqu'elle était enceinte du dieu et de sa jumelle Artémis. C'est la raison pour laquelle Apollon, tout enfant, tua Python avec ses flèches.

Le nâga (ou serpent en sanskrit) est un animal fabuleux de l'hindouisme, à corps de serpent habituellement représenté avec plusieurs têtes, souvent chimériques et effrayantes : capuchon de cobra, gueule de chien, yeux exorbités et parfois humains.Dans les légendes de l'Inde et de tout le Sud-est asiatique, les nâgas sont des habitants du monde souterrain où ils gardent jalousement les trésors de la terre. Ils ont pour ennemi naturel l'aigle géant Garuda, mais nâgas et Garuda ne sont en fait que deux incarnations de Vishnou, les deux aspects de la substance divine, en qui ils se réconcilient.Le nâga le plus célèbre est Ananta, sur lequel se repose Vishnou dans l'intervalle entre la fin d'un monde et la création d'un nouveau.Ananta est un serpent (nâga) de la mythologie indienne. Son nom en sanskrit signifie sans fin ou sans limite, éternel ou infini.Reposant sur les eaux primordiales, Ananta, le serpent cosmique, sert de couche à Vishnu lorsque celui-ci se repose après la dissolution (pralaya) d'un univers ancien, en attendant que Brahmâ renaisse de son nombril et crée un univers nouveau.Ananta est représenté lové sur lui-même, le capuchon déployé en halo autour de la tête de Vishnu. Ses têtes sont multiples, au nombre de sept ou de mille.

Les divinités grecques chthoniennes, ou chtoniennes, sont des divinités anciennes ayant contribué à la formation du Panthéon grec. Elles sont dites « chthoniennes » (du grec ancien χθών / khthốn, « la terre ») ou « telluriques » (du latin tellus, « la terre ») parce qu'elles se réfèrent à la terre ou au monde souterrain, par opposition aux divinités célestes, dites « ouraniennes » ou « éoliennes ».Les premières divinités chthoniennes étaient probablement majoritairement féminines puisque étant des incarnations de la Grande Déesse et de la Terre.Elles appartiennent à un vieux fonds méditerranéen, que l'on identifie avec le plus d'évidence en Anatolie. Les cycles de la nature, ceux de la vie et de la survie après la mort sont au centre des préoccupations qu'elles traduisent.L'archéologie révèle en particulier sur les sites de probables sanctuaires et dans les tombes de l'époque néolithique et de l'âge du Bronze des idoles aujourd'hui qualifiées de Grandes Mères ou de Terres Mères, supposées être en relation avec des cultes de la fécondité et de la fertilité ou encore de l'au-delà. Le rapprochement de ces objets avec ceux d'autres sites (notamment en Anatolie) suggère que cette antique religion méditerranéenne associait cette déesse à un taureau ou à un bélier. Un thème qui s'installera durablement dans la région.En Crète, le culte supposé de cette Grande Déesse évolue au cours du second millénaire avant l'ère chrétienne en faisant intervenir quantité de nouveaux acteurs : animaux divers, plantes, etc. Toute une foule de démons accompagnateurs des dieux, tels que les Curètes (dieu crétois) ou les Dactyles, prennent aussi leur essor à cette époque. Ils auront une nombreuse descendance dans la mythologie grecque (Chimères, Gorgones, Sirènes, etc.). La Déesse Mère elle-même se dédouble, sans doute en mère et fille, comme ce sera plus tard le cas pour leurs héritières Déméter et Perséphone.Le sanctuaire des Grands Dieux de Samothrace abrite ainsi un culte à mystères dédié à un panthéon de divinités chthoniennes dont la plus importante est la Grande Mère.À Akragas (actuelle Agrigente) se trouve un temple dédié aux divinités chthoniennes.

Dans la mythologie grecque, les Dactyles idéens (en grec ancien Δάκτυλοι Ἰδαῖοι / Dáktyloi Idaĩoi, littéralement « les doigts idéens »), c'est-à-dire du mont Ida en Crète, avaient, dit-on, enseigné les cérémonies théurgiques des mystères à Orphée qui les porta en Grèce, ainsi que l'usage du fer.

Comme les Telchines, ils étaient fils d'Hélios et d'Héra selon les uns, de Cronos et d'Alciope selon d'autres. On les dit même fils de Zeus et de la nymphe Ida, parce que, ce dieu ayant ordonné à ses nourrices de jeter derrière elles un peu de poussière prise de la montagne, il en résulta les Dactyles. C'étaient des hommes industrieux ; en qualité de prêtres, ils offraient à Rhéa ou la Terre des sacrifices dans lesquels ils portaient des couronnes de chêne. Après leur mort, ils furent honorés comme des dieux protecteurs ou dieux Lares. On les appelait les Doigts du mont Ida.

est le nom d'un poisson Nâga vivant dans la rivière Yamuna, dans Vrindavan

Dans la mythologie grecque, les Telchines (en grec ancien Τελχινες / Telkhines) sont des divinités inférieures rattachées à l'île de Rhodes. Doués d'aptitudes créatrices et techniques, ils apparaissent assez semblables aux Dactyles.

Les Gorgones (en grec ancien Γοργόνες / Gorgónes ou Γοργο / Gorgoĩ), au singulier Gorgone ou Gorgo (Γοργώ / Gorg) sont, dans la mythologie grecque, des créatures fantastiques malfaisantes et d'une telle laideur que quiconque ose les regarder en plein visage meurt pétrifié (transformé en pierre). On peut réunir dans cette famille les Méduses et les Grées

La plupart des historiens de la Bible considèrent que les seraphim bibliques sont dérivés des uraei égyptiens, ces cobras dotés d'ailes symbolisant la fonction protectrice. Les premières traductions de la Bible hébraïque en grec traduisaient d'ailleurs le mot par « serpents ». Mais, progressivement, la référence aux serpents a été occultée, car les serpents ont une connotation négative dans le monde grec (la Méduse et sa chevelure de serpents, qui faisait mourir d'effroi ceux qui la regardaient). C'est particulièrement vrai concernant le livre d'Isaïe, où les séraphins apparaissent volant au-dessus de Dieu. Au fil du temps, les séraphins ont été représentés comme des créatures ailées, souvent à forme humaine.

Les séraphins apparaissent à plusieurs reprises dans la Bible, notamment dans le Deutéronome, les Nombres ou Isaïe. Ce dernier décrit sa vision en ces termes : Dans l’année où mourut le roi Ouzia, moi, cependant, je vis le Seigneur, siégeant sur un trône haut et élevé, et les pans de son vêtement remplissaient le temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Chacun avait six ailes. Avec deux il tenait sa face couverte, et avec deux il tenait ses pieds couverts, et avec deux il volait. Et celui-ci appelait celui-là et disait : « Saint, saint, saint est l'Eternel des armées. Toute la terre est pleine de sa gloire. »

L’archange saint Michel, dont le nom signifie « Qui est comme Dieu ?» (Étymologiquement EL « dieu » et MI, CHA « qui est semblable »), est un personnage de la Bible très populaire dans la religion chrétienne.Seul saint Michel est appelé « l’archange » ou ange en chef dans la bible canonique. Il est aussi appelé : Prince des Archanges, Archange du Premier Rayon, Défenseur de la Foi.Il est le prince de tous les bons anges, le chef des forces du ciel, des armées célestes, le Champion du Bien contre Satan, (le Diable, le Démon, Lucifer). C'est saint Michel qui pèsera les âmes lors du Jugement dernier et qui emmènera les âmes des élus au Paradis. On dit qu'il est psychostase et psychopompe.

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