La mécanique de l'Univers

Univers

Je voudrais développer une thèse sur l’univers qui m‘a été inspiré par une vieille connaissance que je n‘avais plus revu depuis longtemps.

Je ne suis pas physicien, juste un poseur d’idée.

Pour moi, l’univers et tout ce qui le compose est basée sur une règle simple: le 0 et le 1. Le 0 pris comme le néant absolu, et le 1 comme le tout absolu. On peut décomposer le 1 sur une ligne imaginaire en autant de jalons qui nous paraîtrons nécessaire, cela en respectant les échelles de valeurs et les constantes. Ce sont les deux seuls outils dont nous aurons besoin. Sur terre, on a généralement admis de compter de façon décimale. Probablement parce que les premiers hommes ont commencé à compter sur leurs doigts. Si l’homme avait eu huit doigts à chaque main, il aurait probablement compté en hexadécimal. Les babyloniens comptaient en décimal, mais aussi en sexagésimal, ce qui a donné les angles en degrés (360°).

Aujourd’hui, certains pensent en kelvin, d’autres en Celsius, ou encore en fahrenheit pour les températures, en joules, en nanomètre, mètre, yard, nœuds, année lumière etc. pour les distances ou longueur ou degré, et en heure, minute, etc. pour le temps. Le plus incroyable est que tout le monde, apparemment, se comprend dans ce capharnaüm de valeurs.

L’important, pourrait-on penser, est d’arriver à un résultat exact, qui fasse le consensus. Personnellement, je pense qu’il faut mieux avoir une bonne compréhension des choses, le résultat n’en sera que plus exact, plutôt que d’avoir des chiffres qui correspondent merveilleusement à ce que l‘on attend deux, mais être incapable d’expliquer vraiment le pourquoi. ( Ex: dans la relativité générale, il est dit que la matière déforme l’Espace/Temps. Pour nous expliquer ce phénomène, on nous montre un dessin sur lequel est représenté une boule de billard posée sur une toile tendue dans l’espace. On voit très bien la boule imprimée en dessous d’elle une certaine déformation à la toile. On pourrait, à première vue, penser que la boule impose une pression sous elle. Mieux, que la pression possède un sens directionnel de haut en bas, comme la pomme de Newton qui tombe vers le bas. Les résultats corroborent cette hypothèse. En fait, la gravité a une poussée dirigée vers le centre d’attraction, soit le centre de la matière. C’est pourquoi les astres stellaires sont de forme sphérique. La matière ne repousse pas l’Espace/Temps vers l’extérieur en la comprimant, mais l’attire à elle. Ou plus exactement, la matière rassemblée en masse, possède beaucoup plus d’énergie. Là où il y a de l’énergie en abondance, l’Espace/Temps est d’autant plus restreint ou réduit. Ce qui provoque un état de tension dans l’Espace/Temps avoisinant. L’Espace/Temps est comprimé et réduit autour de tout corps stellaire au-delà d’une certaine masse. Le résultat est le même, seul la façon de penser diverge.

Aujourd’hui, l’homme compte avec les chiffres et la numérotation arabes, et ils ont décidés que le zéro serait le premier chiffre débutant une série de décimale: 0,10,20,30, etc. Pourquoi pas, puisque cela marche comme cela. Mais c’est quand même compliquer les choses à l’extrême. Je préfère, pour ma part, considérer le 1 comme l’ensemble, et le 0 comme le rien.

L’univers=énergie

= (Énergie cinétique (ex: cœur de la matière, monde quantique) + Énergie potentielle (ex: champ gravitationnel, chaleur diffuse) + énergie active (ex: étoile, lumière)+ énergie noire (Espace/Temps comprimé au point qu‘il n‘y plus que de l‘énergie, sans espace ni temps. Cette énergie ne diffuse donc aucune température, car elle ne bouge pas, elle reste figée, la température comme la pression y est extrême, mais cette température sans espace ne peut se répandre, ex: abord de trous noirs)

Énergie=(espace/Temps=température=Lumière/Ondes =

Corpuscule/ondulatoire=Matières…)

Énergie potentielle, ou cinétique, ou active,= mouvement=chaleur diffuse. Énergie noire=stationnaire= chaleur potentielle non transmissible de valeur nulle

Tous ces états sont des phases de l’énergie. Là où il y a de la chaleur, active ou potentielle, il y a de l’énergie, donc de l’Espace/Temps. Là où il y a de l’énergie noire, l’Espace/Temps est sclérosé, figé, et se confond. La température y est nulle, dans le sens non mesurable, mais cependant présente. À ne pas confondre avec le Néant, où, là, il n’y a pas de température du tout. Partout où la température dépasse les -273° ou +0 kelvin il y a de l’énergie, donc de l’Espace/Temps. Même dans les endroits où Espace/Temps se confond, et où se trouve de l’énergie noire, si on ne peut pas mesurer la température, car elle ne se transmet pas, elle est cependant supérieure au 0 kelvin.

L’Énergie/Univers est en quête d’équilibre, partagé entre l’entropie et l’enthalpie, en des états irréversibles et réversibles consécutifs

Le néant=absence d’énergie. Le néant n’existe pas, mais c’est là son état ( absence de chaleur, absence de lumière, absence d’Espace/Temps, absence de matière, etc.…) ( Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de température, que c’est froid ou chaud ! Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de lumière que c’est l’obscurité. Il n’y a rien du tout, c’est tout.

Le froid et le chaud sont liés à l’amplitude de température de l’Univers, l’obscurité est liée à l’amplitude de lumière de l’Univers. Le Néant est néant, il n’y a rien. Le Néant et l’Univers n’interagissent pas entre eux. Cependant, l’un n’est pas le contraire de l’autre. Ils se complètent. Sans le Néant, la lumière de l’Univers ne se détacherait pas autant dans le ciel. De même, sans les valeurs nulles du Néant, les températures de l’Univers subiraient des contraintes extérieur au système, et l’Univers deviendrait inconcevable.)

 

L’univers est le système. Retirez l’énergie du système, il n’y a plus de système. Plus d’énergie, plus d’univers. Rien ne peut sortir du système, en dehors du système il n’y plus rien. Donc rien ne se perd dans le système, ce n’est qu’une question d’échelle de valeur d’Espace/Temps. Plus l’énergie est concentrée, plus l’Espace/Temps est concentré. Plus l’énergie est forte, plus l’Espace/Temps est réduit. Plus l’énergie est diluée, plus l’Espace/Temps est dilué. Plus l’énergie est faible, plus l’Espace/Temps est grand.

La loi fondamentale de l’univers est sa recherche d’équilibre stable. Mais il ne pourra jamais conserver cette valeur. Soit son état est trop dense, et il tend vers l’inflation, soit son état est trop faible, et il tend vers l’effondrement. Cet état perpétuel d’aller-retour est le fait que rien d‘extérieur au système ne le perturbe (en l‘accélérant ou en le freinant).

Le néant n’a aucune incidence sur l’univers/énergie. C’est justement par ce manque d’interaction, que l’univers ne peut rester en état d’équilibre.

L’univers fini sur le néant, alors que le néant ne commence nulle part.

Quand l’univers est en inflation, il n’y a aucune force extérieure au système pour le ralentir. Il poursuit son inflation jusqu’à son point critique (Plus la température baisse, plus l’univers s‘agrandit, plus les galaxies s‘éloignent les unes des autres. Plus l’univers est grand, plus l’énergie s‘y dilue. Moins il y a d’énergie, plus la température baisse.) L’univers possède la même quantité d’énergie, plus l’espace est réduit, plus l’énergie est concentrée, plus l’univers est grand, plus l’énergie est diluée. (Quand l’énergie est trop faible pour maintenir le système cohérent, le système s‘effondre alors sur lui-même). L’énergie ne peut pas sortir du système, et s’y perdre. C’est pourquoi il n’y a qu’un seul univers et le néant.( Bien que l’Univers soit de type Archipel) Ce que nous considérons comme Univers, est l’univers que nous voyons ou constatons. En fait, l’Univers est encore beaucoup plus grand. Mais l’Univers n’est pas si homogène que cela, ou que nous nous l‘imaginons. L’énergie s’y répand de façon inégale. Ce qui fait que plusieurs cycles s’y déroulent indépendamment les uns des autres. Quand l’énergie s’effondre dans certaines parties de l’Univers, cela provoque des Big-Bang. Comme l’Univers est incommensurable, certaines parties de l’Univers ne sont même pas perturbées par ces explosions phénoménales. (Imaginez l’Univers comme l’Océan sur Terre. Il a été fractionné suivant les continents qui le bordent. Quand un tsunami se déchaîne dans le Pacifique, cela n’affecte pas le pêcheur de sardine dans l’Atlantique. Le tsunami peut être comparé à un Big Bang régional.)

Le système subit des chocs thermiques selon son niveau d‘énergie locale. L’univers ne peut ni s’éteindre, ni rester en hypothermie. La force qui a forcé l’univers à s’étendre, s’inverse en s’effondrant. Il chute sur lui-même

L’inflation est due à la compression initiale (origine et non pas début: La cause)

Mouvement perpétuel ou déterminisme:

La cause: Quand l’énergie est confinée dans un infime Espace/Temps, et qu’elle atteint son point critique de contraction, quand X, Y, Z, T se confondent, (elle ne peut poursuivre plus avant, l’énergie ne peut pas sortir du système.) L’énergie=Espace/temps subit une brusque poussée répulsive afin de se rééquilibrer. L’univers ne peut pas rester, ou être, en hyperthermie (sur-énergie). Plus il y a d’énergie réunie ou concentrée, plus son action est démultipliée. Énergie vive=mouvement=chaleur=répartition

L’effet, ou état, ou phase : l’énergie se détend brutalement comme un ressort comprimé que l’on libère. L’Espace/Temps était si comprimé que le Temps/fréquence était nul, et l’Espace/Longueur était nul, donc, l’énergie était beaucoup trop vite sollicitée pour que l‘énergie se détende normalement selon les lois de la physique classique. Une inflation exponentielle se crée presque instantanément. Le système est le système en lui-même. La poussée est au carré. (L’énergie explose tout autour de son point initial.)

Effet qui en découle: Cette explosion d’énergie (décohérence) provoque une tension trop forte. Les Ondes/Énergie sont alors droites et sur-tendues. Tous l’univers est stimulé et homogène instantanément. L’Espace/Temps est stimulé et homogène et en surtension. (Ce qui signifie qu’entre ces deux états, celui où l’énergie est comprimée entre 4 points infimes, et celui où l’énergie se détend brutalement, le temps est le même. C’est-à-dire que ces deux phénomènes sont quasi simultanés alors que les valeurs X, Y, Z se distinguent nettement maintenant de T) l’Espace= longueur, et le temps= fréquence. (La fréquence et la longueur sont liées. Quand la longueur est trop tendue, la fréquence est nulle. L‘espace et le temps doivent conserver entre eux une certaine relation d‘interaction. L‘espace et le temps, ou l‘Espace/Temps, sont l‘Univers, et ils ne peuvent disparaître du système. L‘espace et le temps sont une forme d‘énergie de l‘Univers)

( Le temps de l’Espace/Temps est comprimé, alors le temps est infime, alors que l‘espace se détend de façon exponentielle). L’énergie qui permet à l’espace de grandir aussi vite provient de l’énergie du temps. Le temps se distingue à présent de l’espace de façon flagrante. Normalement, l’Espace/Temps partage équitablement son énergie. Quand cet Espace/Temps est sollicité, et qu’il perçoit une charge d’énergie supplémentaire, il la transmet aussitôt à son Espace/Temps le plus proche, diamétralement opposé à l’Espace/Temps qui le lui a transmis. L’espace et le temps se contractent en proportion de l’énergie apportée, afin que l’Espace/temps ne soit jamais en sur tension. Plus l’énergie apportée provient d’une source de masse faible, tel le photon, l’énergie contracte au maximum l’espace et le temps dans l’Espace/Temps, ce qui fait la célérité de la lumière. En revanche, quand l’énergie apportée provient de masse massive, l’énergie y est proportionnellement redistribuée entre l’Espace/Temps, et la masse massive. Ce qui fait que la vitesse de propagation de cette énergie soit moins forte, et à durée limitée. Je ne parle pas des objets interstellaires qui tombent dans des Espace/temps détendus. Là, l’énergie ne provient pas de la masse massive, mais de son environnement: Espace/Temps, qui se transmet l’énergie d’Espace/Temps en Espace/Temps. Quand l’univers était confiné en quatre valeurs d’un unique et primordial Espace/Temps, l’énergie sollicité pour pouvoir ce dégager de ce point critique, a été puisée dans la partie temps, et réinjectée en masse dans la partie espace qui s’est alors clairement distinguée entre X, Y, Z. Les valeurs X,Y, Z, T se sont alors clairement positionnés, et sont distincts des uns des autres. Il ne pouvait y avoir, et y demeurer un seul point (X,Y,Z,T) car l‘énergie a besoin d’espace et de temps, ou, de fréquence et de longueur pour exister.

Autre phase: L’Espace/Temps s’est de nouveau rééquilibré. L’espace et le temps ont de nouveau le même potentiel d’énergie à se partager. L’espace grandit en 3 D, alors que le temps se déroule en un axe unique au carré. L’espace est la longueur de l’Onde/Univers, alors que le temps est la fréquence de l’Onde/Univers. Tous deux sont liés. L’univers continue son inflation afin de retrouver son équilibre. (Un ressort sous pression que l’on relâche, de par l’énergie libéré, dépasse son point d’équilibre et se contracte, pour se tendre de nouveau, et cela de façon continue de moins en moins forte, pour, à la finale s’arrêter. L’univers ne reçoit aucune contrainte, alors, après le brusque relâchement d’énergie, l’univers continuera son expansion, ou plutôt, l’énergie se répandra vers l’extérieur en grossissant et en perdant, de fait, l’énergie partagée, tant que le niveau d’énergie restera positif. Mais l’énergie en expansion puisera maintenant sa force de ses côtés. L’univers s’écrase sur lui-même en Z, tout en s’étendant en X et Y. (sur terre ou dans l’univers, quand il y a une explosion, l’énergie s’éloigne de son point initial, en couronne exponentielle, comme un feu d‘artifice. Quand l’univers explose, et qu’il ne peut pas sortir de son système. L’énergie tend en X et Y, alors qu’elle se contracte en Z. Cela selon le champ de gravité de l’univers et son champ magnétique. (L’énergie nécessaire pour tendre X et Y est tirée en Z) L’univers connaît la loi de l’entropie, les éléments s’y rangent suivant leurs niches d’énergie. Ce qui donne un sens à l’univers dans ses débuts.

Les Ondes/Énergies se brisent, ou cèdent sous la pression, en milliards de fragments. ( L’espace et le temps sont maintenant bien définis en milliards de points géo localisables et quantifiables. Ce qui donne à l’Univers une grandeur incommensurable. Les ondes donnent par leur fréquence leur temps, et par leur longueur leur espace. Chaque Espace/Temps peut être comparé à une goutte d‘eau de l‘Océan. Plus l‘énergie y est fort, plus la fréquence et la longueur sera courte, plus l‘énergie y sera faible, plus la longueur et la fréquence y seront grandes. La goutte d‘eau stimulée par l‘énergie se réduira pour devenir de la vapeur, alors que la goutte d‘eau en manque d‘énergie grossira pour devenir de la glace. En fait, c‘est une vue de l’esprit, une image, mais c‘est le même principe.) Les premiers quantas d’énergie se forment, ou, retrouvent leur place initiale, se singularisant du champ d‘énergie potentielle ambiant. Les brins d’ondes libérées de la tension se contractent en spires, Comme rien en dehors du système ne peut avoir d’influence sur eux, ils continuent à vibrer, et interagissent entre eux. L’énergie en puissance (ou potentielle), et l’énergie en force (ou active) se séparent distinctement. L’Espace/Temps se détend, puisque l’Espace/Temps, c’est aussi l’univers. Le présent retrouve ses propriétés et se distingue du temps et de l‘espace. Le temps est l’ensemble des phases successifs de l’Espace/Temps, ainsi que tous les Espaces/Temps d’une même phase, alors que le présent est l’une de ces phases successives et est unique en soi. Le présent est une goutte d’eau, qui évolue selon son environnement. Chaque goutte d’eau à son présent propre, et partage le temps avec les autres gouttes d’eau qui lui sont proches. Le temps est l’Océan, le présent chacune de ses gouttes d’eau. Les présents peuvent se juxtaposer, s’accoler, se succéder, mais ils sont tous uniques, et font partie du même puzzle. Chacune des gouttes d’eau n’est en contact qu’avec les gouttes qui lui sont proches. Le présent est unique, mais parcellisé et partagé

Une autre approche différente qui peut paraître contradictoire, pourtant, c’est le même phénomène vu d’un autre angle. Là, je montrais le présent dans un temps déterminé. Maintenant, je montre le temps et tous ses présents successifs, passé, présent et futur.

Le temps est un segment de droite qui part du point T (départ de l’inflation) en passant par le point T (effondrement) jusqu’au point T (retour à l’inflation) ( T est unique). Le présent est chaque point de ce segment, qui bascule d’un point à l’autre, sur le segment temps, selon l’axe donné par l‘énergie (inflation, effondrement, inflation)

Le présent est chaque point de ce segment, c’est-à-dire qu’il est unique, comme l’univers, qui passe de phase en phase, mais qui demeure le même univers. Toutes ces phases sont successives. Ont peut les représenter en schémas. Mais en réalité, chaque phase est un autre état de l’état qui annule l’état précédant.

Un ex: une photo est une représentation dans l’Espace/Temps d’un moment donné du passé. Un film est une suite d’événement. Filmez la vie d’un papillon éphémère de sa sortie du cocon, jusqu’au moment où il viendra se brûler les ailes sur la lampe d’un lampadaire. Vous aurez filmé le Temps de sa vie en son entier. En filmant ce papillon, vous l’aurez filmé dans son présent, image par image. Le film est le temps de ce papillon, chaque image représente le papillon dans une phase de son présent. À ceci près que vous ne pourrez jamais filmer le présent, juste un proche passé. Le présent est unique, et représente un point précis du segment temps. Le présent n’est qu’une lentille grossissante qui éclaire un point précis de l’espace, et du temps. Il y a autant de présent qu’il y a d’Espace/Temps. Mais cependant, le présent est unique, car il ne touche précisément que des objets spécifiques liés les uns aux autres par leur environnement Espace/Temps, proche. Paradoxale? Non, voici un exemple qui éclaircira mes propos: considérez les océans de la terre comme un océan unique. Depuis la création de la Terre et de ses océans, la géographie terrestre a changé plusieurs fois. Au début était un continent unique appelé la Pangée, entouré d’un océan unique. Puis, avec la dérive des plaques tectoniques, des continents sont apparus. Bon! L’Océan est unique, bien qu’il ait changé de formes et de lieux plusieurs fois au fil des millénaires. Nous dirons que l’Océan est comme le temps: unique. Prenons chacune des gouttes d’eau qui constitue l’Océan, elles sont uniques également, bien qu’il y en ait des milliards. Chacune de ces gouttes d’eau, dans l’absurde, pourrait être géolocalisable. Ces gouttes d’eau dans l’Océan, ressemblent aux présents dans l’univers. Chaque goutte d’eau interagie avec les autres gouttes d’eau qui lui sont proches, et avec son environnement, plus ou moins proche. Les poissons qui nagent à un certain endroit, partage cet Espace/Temps et son présent. La goutte d’eau, comme le présent, est conditionné par son environnement. Un tsunami se déclenche à des milliers de kilomètres de là, la goutte d’eau en ressentira plus tard les effets. Il est assez difficile de se représenter mentalement l’Océan en 3D, et dans le temps, ou la durée, avec ses marées, ses courants, son évaporation, et ses rajouts de pluie, ses transformations en glace, et ses fontes. C’est pourtant la meilleure façon de se représenter le temps et le présent. On peut aussi se représenter le temps de façon euclidienne par une pellicule sur laquelle serait enregistrée toutes ses données. Le temps serait mieux représenté comme une suite d’évènements. C’est peut-être la façon la plus simple, mais aussi la moins exact, ou précise.

Le temps est la pellicule sur laquelle s’imprime les événements. On ne peut pas photographier le présent n’y le temps. Imaginez un cliché qui représenterait des milliers d’évènement successifs. L’image serait incompréhensible. De même une pellicule où toutes les images y seraient mélangées. L’histoire n’y aurait plus aucun sens. J’ai voulu représenter le temps par un segment de droite, ce qui pourrait prêter à confusion, en y déduisant un début et une fin. Le temps serait mieux représenté par un cercle, objet fermé comme l’univers, et, où rien ne peut en sortir. Mais cette représentation laisserait supposer que l’on pourrait revenir en arrière. Le temps est le cercle, le présent chacun de ses points à un instant donné. Le présent ne peut pas être en deux point en même temps. Il n’y a que le présent qui existe, le passé est un concept pour expliquer l’une des phases du temps, antérieur à notre présent. Le présent suit la flèche de l’inflation. Il ne peut donc pas s’arrêter ni reculer. Le présent sur son cercle n’a aucune chance de se retrouver en arrière, ou en avant, ou dans son passé, ou dans son futur. Le présent et l’univers sont uniques et liés entre eux, et se présentent dans différentes phases successives de l‘Espace/Temps. Quand vous faîtes un tour dans un manège sphérique, vous n’avez aucune chance de vous retrouvez dans le passé ou dans le futur. Même si le manège va aussi vite que vous aurez l’impression de faire du surplace ou de reculer. Vous ne quitterez pas le présent. Un bolide de course ne se retrouvera pas, après l’arrivée, avec plusieurs roues entassées sur ses essieux, ni des roues neuves.

Une autre phase de l’univers, après la création des premiers quantas de matières, (dû à la température extrême et à la pression extrêmes), la distinction du présent du temps, la répartition des couches ou niches thermiques selon leur densités, et la distinction de l’énergie potentielle de l’énergie active. L’Espace/Temps se détend en une phase de décélération progressive sur l‘axe Z. l’univers prend une forme de coupole. La chaleur se diffuse exponentiellement (énergie potentielle, espace potentiel) toute température au dessus des -273° ou +0kelvin peut être considérée comme de la chaleur ou espace ou temps. Là où il y a de la chaleur, il y a Espace/Temps. La chaleur est un stimuli de l’énergie. Il ne peut se propager hors de champ. La chaleur en elle-même n’existe pas, c’est le champ en lui-même, stimulé qui chauffe. Quand vous faîtes chauffer du café sur votre gazinière, vous ressentez de la chaleur autour, envahir la pièce. En fat, c’est l’air de la pièce qui est stimulé par le feu de la gazinière. L’énergie ne peut pas non plus se répandre hors champ, mais l’énergie peut se détendre, ou se diluer, ce qui fait qu’elle augmente de taille, tout en diminuant d‘intensité de façon proportionnellement inverse.

Le néant n’a aucune autre influence sur l’Univers, que de ne pas avoir d’influence sur lui. Plus l’énergie se détend, et moins il a besoin d’énergie pour grandir. Ce qui fait qu’il se répand dans de grand volume rapidement, et sans dépenser, ni perdre d’énergie.

Autre phase: Les grumeaux d’énergies en forces s’agrègent pour former les premières particules. Les ondes engendrent, et transmettent de l’énergie, en stimulant d‘autres ondes. Quand de l’énergie, transmise d’écho d’onde en écho d’onde se rencontrent sur un point commun de l’Espace/Temps, et que ces énergies ne s’annihilent pas ou ne se détruisent pas: ils fusionnent en une particule mesurable ou quantifiable. (Une petite précision: le photon, ou la lumière, ne provient pas d’un astre en lui-même. La lumière solaire, que votre œil perçoit, ne provient pas directement du soleil, 8 minutes après en être partie. Le soleil produit beaucoup d’énergie. Cette énergie stimule son champ ambiant. L’énergie est une onde en soi, ou plus précisément, l’onde transporte, ou transmet de l’énergie à une autre onde. Chaque Espace/temps, comme chaque goutte d’eau de l’Océan, possède un temps, un espace, et une énergie potentielle ou active. Quand l’énergie est potentielle, le temps et l’espace sont grands. Quand l’énergie est active, le temps et l’espace sont réduit. Le photon est de l’énergie qui ne dépend pas d‘éléments extérieurs. Alors cette énergie ne se perd pas en route. Quand l’onde ondule, son énergie, là, en l’occurrence le photon, s’agite vigoureusement. Il va heurter l’Espace/Temps voisin avec beaucoup de force, et lui transmettre toute son énergie. Cet Espace/Temps va réduire d’autant son espace et son temps, qu’il va augmenter son énergie (inversement proportionné). Cet Espace/Temps va vibrer, ou se transformer en onde, et à son tour, transmettre son énergie reçue à son Espace/Temps voisin. D’onde en onde, ou d’Espace/Temps en Espace/Temps, votre œil va percevoir cette onde violente. Cette onde ne provient pas directement du soleil, mais a été engendrée par lui dans votre proche voisinage. C’est une succession d’ondes stimulées, depuis le soleil, d’Espace/Temps en Espace/Temps qui, à la finale, stimulera votre propre Espace/Temps. Les ondes ont différentes longueurs et fréquences, selon la façon dont-elles ont été stimulées, mais elles se transmettent également cette même longueur et fréquence d’onde, tant que leur champ reste le même. C’est pourquoi la lumière est une constante partout dans l‘Univers. La lumière est une énergie puissante. Quand elle stimule un Espace/Temps, même si son énergie locale y est faible, donc son espace et son temps y sont grands, cette forte énergie perçue, va aussitôt, réduire son espace et son temps. Ce qui fait, que l’Espace/Temps, qu’il soit constitué d’énergie potentielle ou active, la lumière, en la traversant, va homogénéiser son espace et son temps. La lumière est constante. Une exception, c’est quand l’Espace/Temps est si compressé par l’énergie, que le temps et l’espace s’y confondent. Alors, la lumière n’a plus d’espace, n’y de temps pour se propager et se transmettre. ( C’est un peu comme quand vous coulez une corde de piano dans du béton. Il n’y a plus aucune chance pour qu’elle vibre et ne produise un son. ) C’est-ce qui se passe à l’approche des trous noirs

C’est cette onde également qui va chauffer votre air ambiant. Comme le soleil brille de mille feux, des milliards d’ondes vont ainsi vibrer, d’onde en onde jusqu‘à vous jusqu‘à la nuit des temps. C’est le même phénomène que quand vous entendez votre voisin parler. La voix que vous percevez aux creux de votre oreille, ne provient pas directement des cordes vocales de votre voisin. La voix n’est qu’une série de vibrations d’air, qui se transmettent d’Espace/Temps en Espace/Temps, ou d’onde en onde, jusqu’à vos tympans. On peut même affirmer que, dans l’absolu, la voix de votre voisin n’existe pas, mais que c’est votre cerveau qui a décodé ces vibrations d‘air, et vous en a donné la texture, la tonalité et le sens. Les ondes, c’est un peut comme les jeux de dominos qui tombent les uns après les autres. L’énergie du domino qui tombe, va se transmettre au domino qui se trouve devant lui, dans son intégralité. Le domino à beaucoup moins d’énergie que le photon, ce qui fait que son Espace/Temps n’a presque pas changé, alors que celui du photon en a beaucoup, du fait qu‘il ne partage pas son énergie avec un corps massif, ce qui fait que son Espace/Temps est réduit, d’où la vitesse de la lumière. Les ondes ont généralement le même sens, ou la même origine, sauf quand elles sont créées au cœur d’Espace/Temps comprimé, comme par exemple, au cœur des étoiles. Alors, quand plusieurs ondes de même fréquence et de même longueur d’onde, provenant de directions différentes, se télescopent, l’énergie ainsi créée converge en un point unique. On pourrait même dire que ces ondes s’entremêlent, et continues de vibrer, entraînées sans cesse, par cette énergie constamment stimulée. Cela en fait des brins de matière. C’est un peu la différence qu’il y a entre une girouette, (onde simple) et une éolienne (source d’énergie). C’est à une autre échelle, le même phénomène, qui, par accrétion, formera les planètes. Toutes ces particules s’auto attireront sur le principe que ces particules sont sensibles à leur énergie, ou densité, ou niche thermique. Les lois fondamentales sont partout les mêmes dans le monde macroscopique. Les éléments dans un verre se positionneront, après un long moment de repos, selon leur densité, et suivant la pesanteur (la température/énergie +.)

Autre phase: La chaleur baigne maintenant l’univers, tout l’univers a une température supérieure à o kelvin. Les grumeaux de matières s’attirent entre-elles. Cela est le fait aussi que la température a baissée, et que l‘univers, de ce fait grossit. L’énergie potentielle à tendance à se détendre, à se répandre, alors que l’énergie active à tendance à se regrouper, et à se compresser, compressant à son tour son champ ambiant autour d’elle. Les éléments reconnaissent, et rejoignent leurs niches thermiques. (Quand on verse dans un verre plusieurs ingrédients, ils se mélangent, ex: (plusieurs alcools différents+sirop). Mettez-le verre à refroidir au frigo. Une fois refroidie, vous constaterez que les ingrédients sont disposés dans le verre, par couche, suivant leur densité. Autre ex: la terre, comme tout corps stellaire, s’est constitué par accrétion. Lors de sa création, tous les éléments étaient mélangés. Par la force de la pesanteur, les éléments se sont déposés par niveau selon leur densité. Les éléments lourds sont au cœur de la planète, les moins lourds montent vers la surface. L’atmosphère, matière légère, se retrouve autour de la planète. Le froid a rangé la matière, ainsi que la pesanteur. Ces deux forces sont la même cause, l’un des aspects de l’énergie.

Autre phase: l’univers reprend son inflation en coupole et en accélérant. (Plus l’univers augmente, plus il refroidit, plus il refroidit, plus l’Espace/Temps augmente. C’est une réaction en chaîne.) Cela aussi parce qu’aucune force extérieur ne le refrène. L’énergie potentielle se diffuse tout en se refroidissant. C’est la même quantité d’énergie dans un plus grand volume, donc l’énergie est moins forte. Les galaxies se sont succédées, de génération en génération, la matière est plus lourde et plus complexe. Plus les galaxies s’accaparent, et brûlent de la matière, donc de l’énergie, moins il y a d’énergie dans l’espace intersidéral. Cela favorise aussi l’inflation de l’univers. Les galaxies s’éloignent les unes des autres, car l’Espace/Temps, entre elles, augmente ou s’étend.

Partout où l’énergie est moins forte, la gravité est moins active. (Il n’y a pas, à mon sens, d’énergie noire ou de matière noire, mais une absence de matière, ou, donc, d’énergie.) Il faut dire aussi que certaines galaxies ont été totalement dévorées par leur trou noir. Les trous noirs compriment autour d’eux l’Espace/Temps à l’extrême. Quand il ne reste que le trou noir, il n’y a autour de lui que de l’Espace/Temps comprenant beaucoup trop d’énergie, et pas assez d’espace et de temps distinct. Le nombre de trous noirs ayant absorbés ou avalés leur galaxie va en nombre croissant. Le problème avec les trous noirs, à l’encontre des galaxies précédentes qui ont créées la matière solide, de générations de galaxies, en générations de galaxies, c’est que rien de réutilisable ne peut plus sortir des trous noirs, et son énergie est condamnée à resté de l’énergie pure. Cependant, des jets d’énergie fusent de ses pôles violemment. Cette énergie a énormément de difficulté à se frayer un chemin à travers cet Espace/Temps compressé. Cette énergie est édulcorée, et moins forte. En fait, ce n’est pas l’énergie en elle-même qui fuse, mais c’est le trou noir, et son environnement d’Espace/Temps compressés qui vont éjecter cette surcharge d’énergie. Tant que cela durera, le trou noir ne risquera pas d’exploser. Mais c’est quand ces éjections cesseront, que le point critique sera atteint. On peut comparer cela à une cocotte minute qui ne pourrait plus éjecter sa surpression. Les trous noirs s’observent maintenant dans l’Univers, ils se jaugent, s’attirent autant qu’ils se rejètent. Précaire équilibre instable.

Autre phase: l’univers a atteint son point d’inflation critique. Les galaxies ont brûlé toute leur énergie, la matière s’est désagrégée, et s’est mélangée diffusément dans le champ en puissance presque éteint. Tandis qu’à d’autres endroits, les trous noirs règnent en maître, souverains d’un empire vide. L’univers est en sous tension, il s’effondre alors sur lui-même. L’univers éthéré est si vaste, que l’Espace/Temps n’a plus de sens. (Un voyageur pourrait voyager toute sa vie dans cet espace sans rencontrer quoi que ce soit. Il n’aurait même pas eu l’impression d’avoir bougé d‘un centimètre, d’autant plus que sa montre n’aurait pas avancé d’une seconde. Pourtant, ce voyageur y serait né, y aurait grandi, vieilli puis y serait mort à un âge canonique. Sous les conditions qu’il se soit alimenté normalement, et n’ait connu aucun accident ou maladie. Ce voyageur aurait brûlé en lui toute son énergie, et les limites de vie de son organisme.) Chaque organisme possède sa propre pendule interne. Cet exemple est une vue de l’esprit, car à ce stade là, l’énergie du voyageur aurait été captée par son environnement dés sa naissance. De même, un voyageur dans le champ de trou noir, y serait capté. Le temps et l’espace s’y mélangeraient. Il serait d’abord décédé, avant d’avoir pu naître. C’est aussi une vue de l’esprit, car aucune matière autre que l’énergie pure, et encore moins la vie n’y pourrait y être envisageable. Imaginez que vous mouriez aussitôt après avoir assisté à votre propre naissance, en considérant ses deux évènements comme distincts, et indépendant l’un de l’autre, et séparés d‘une longue vie. Vous n’aurez que la vision de votre propre naissance, en tant que spectateur extérieur, et aucun souvenir de votre propre vie. Cela serait d’autant plus troublant que cette série se reproduirait à l’infini, au point que parfois, c’est en naissant que vous assisteriez à votre propre mort, et cette personne là, bien que cela soit vous à un stade avancée de son existence, que vous reconnaissez même, vous n’en ayez aucun souvenir non plus. )

L’univers éthéré (la canopée du système) pourrait rester dans cet état (hors Espace/Temps), tant que de l’énergie se maintiendrait en dessous d‘elle, mais c’est la couche en dessous, un peu plus dense, et vivement sollicitée, qui va actionner ce mécanisme d’effondrement. Rien ne peut sortir, ni se perdre dans le système. Plus l’univers s’effondre, plus il prend de la vitesse. (L’énergie augmente, proportionnellement à la diminution de l’Espace/Temps). C’est le même principe que la pesanteur. La gravité s’applique à l’ensemble des corps stellaires, la pesanteur à chacun de ces corps stellaires. La pesanteur comprime autour d’elle l’Espace/Temps. Plus l’Espace/Temps est réduit, plus son énergie est amplifiée. La pomme tombe de l’arbre, parce que l’Espace/Temps, autour d’elle est réduit, et inversement proportionnée à son énergie qui grandie. La pomme est comme dans une seringue (Espace/Temps)/Énergie. Quand la seringue est quasiment remplie d’Espace/Temps et d’un peu d’énergie, on peut dire qu’elle se trouve en apesanteur, elle flotte. Quand l’Espace/Temps se réduit et que l’énergie augmente, la pomme est expulsée de son Espace/Temps, et projetée dans un autre Espace/Temps de même condition. La pomme prend de la vitesse dans sa chute, car elle perçoit à chaque passage dans un autre Espace/Temps, de l’énergie qui s‘additionne. La pomme, telle une énergie transmise par une onde, perçoit de l’énergie. Mais la pomme, de par sa masse, amasse l’énergie, alors que l’énergie d’une onde la transmet intégralement. La pomme tombe vers le bas, car, d’une part, elle est attirée par l’attraction terrestre, ou par l’énergie qui en dégage, et deuxièmement, parce que l‘Espace/Temps en dessous d‘elle est de plus en plus réduit. Donc l’énergie pousse la pomme vers le bas, car elle est attirée par l’énergie et le mouvement qui s’en dégage. Le mouvement=énergie=attraction=centre de la matière, plus il y a d’énergie, plus le temps et l’espace est réduit.

L’effondrement se poursuit, les trous noirs tombent les uns sur les autres, ou s’attirent les uns les autres, car l’Espace/Temps qui parvenait encore à les maintenir à distance diminue. L’énergie pure de ces trous noirs s’additionnent et tombe également sur elle-même.

L’inflation a pris quelques milliards d’années, alors que son effondrement se produit beaucoup plus rapidement.

L’inflation détend le temps et l‘espace, (en diluant l’énergie) alors que l’effondrement comprime l’énergie, le temps et l‘espace. (Le présent n’est pas affecté par l’énergie en lui-même, plus l’Espace/Temps est étendu, plus il y aura de phases de présent, plus il sera réduit, moins il y aura de phases de présent. Mais à un point critique de l‘Espace/Temps, le temps disparaît dans l‘espace, donc le présent n’a plus lieu d’être. Ce n’est pas pour autant qu’il y a une coupure du présent. Le présent est lié au temps. Le temps à l’Espace/Temps. L’Espace/Temps est une forme de l’énergie, donc de l‘univers. Quand il y en + de l’un, il y en a - de l’autre. Plus il fait chaud, moins il fait froid. CQFD

L’univers change d’état en permanence, selon des phases plus ou moins longues, de l’inflation vers l’effondrement, même si certains de ces états se ressemblent, et pourraient paraître cyclique, l’univers est unique, le présent aussi. Chaque nouvelle phase efface ou remplace la précédente. L’Univers est si vaste, qu’il ne subit pas partout, et en même temps ces phases d’inflation et d’effondrement. Quand un Big-bang se produit, c’est en général qu’il n’a plus autour de lui quoi que ce soit sur un si grand périmètre que son Espace/Temps en a perdu la notion d’espace et de temps. On pourrait alors supposer qu’il y a plusieurs univers. Mais en fait, c’est un même univers parfois perçu comme de type archipel. Il y a le néant, et le reste que l’on nomme Univers.

Pourquoi y a-t-il quelque chose, plutôt que le Néant ?

Pourquoi y aurait-il quelque chose, plutôt que le Néant, qui ne demande aucune source d’énergie. Le Néant est tellement simple en soi. Autre question, le Néant pourrait-il ne pas être sans autre chose que son état. Le Néant n’existe pas, mais c’est là son état. Hier, ou le passé, n’existe pas non plus. Oui ! Nous avons tous un passé, nous avons tous vécu hier. Nous en avons même des souvenirs, et des traces matériels. Cependant, le passé n’est qu’un concept pour ranger par ordre chronologique les évènements de notre vie, ou de notre histoire. Nous n’avons conscience que de notre présent, et rien que des souvenirs de notre passé, et des vues sur notre avenir. Notre vie est notre Espace/Temps que nous partageons avec nos contemporains. C’est comme l’eau de l’aquarium que le poisson rouge partage avec ses congénères. ( Le temps est la fréquence qui sépare deux points, dans l’espace longueur.) Notre pendule interne nous renseigne sur notre réserve d’énergie ainsi que sur l’évolution de notre environnement. Nous avons l’impression de vivre car le monde qui nous entoure change, passant du jour à la nuit, de l’hiver au printemps, de notre jeunesse à notre vieillesse. En fait, ce n’est que notre monde, et à plus grande échelle l’Univers qui vibre en permanence et consomme, ou transfert, ou transforme l’énergie ambiant, dont le notre. C’est pour cette raison que nous consommons notre énergie interne, et que nous devons en permanence la renouveler. Nous usons ainsi notre organisme à la longue. Si l’homme vivait dans des stations interstellaires, loin de corps massifs et de source d’énergie, son espérance de vie croîtrait aussitôt. Nonobstant du fait qu’il se trouverait en plus, dans un Espace/Temps détendu. Toute matière réagit comme une onde. Elle perçoit de l’énergie extérieure, qu’elle utilise pour stabiliser son système, et elle en transfert également à son voisinage. Cela est d’autant plus vrai pour la vie. En ce qui concerne la vie, il y a un autre paramètre qui rentre en ligne de compte. La vie sait que son environnement est instable, et change périodiquement dans des phases extrêmes à la limite du supportable. Pour assurer l’équilibre de la vie et sa pérennité, ou viabilité, la vie a décidé de sortir des modèles à faible espérance de vie. Ce qui fait que la vie se transmet plus vite, de génération en génération, et peut ainsi s’adapter à la moindre évolution de son environnement, et cela en temps réel. La vie a entre autre inventé le principe de l’obsolescence. La vie se repaît d’elle-même. La vie et la mort sont les deux bouts d’une même ficelle.

Mais là n’est pas le sujet de ma thèse, revenons au Néant. Le 0 pourrait-il être sans le 1? Réponse: Non ! Le 1 pourrait-il se passer du 0 ? Réponse: Oui ! Mais son état serait éphémère. Le 0 n’a de sens que s’il est pris dans le sens absence. S’il n’y a que le 0, il devient une coquille vide. Le néant de part son état, et sa non existence devient déjà quelque chose de virtuel. L’énergie est la décohérence entre deux valeurs, qu’elle soit pour l’une virtuelle et pour l’autre concrète. Où, l’énergie est la quête d’équilibre entre deux valeurs. Le Néant, ou le rien absolu, ne peut être démontré que si on peut le comparer à autre chose. Le rien, sans le tout, n’a aucun sens. S’il n’y a que cet état, il ne pourra que s’annihiler, et sa non existence ne pourra pas être démontré. On pourrait croire que le Néant est un état initial. En fait, le Néant pour exister, et atteindre ainsi un équilibre suprême, devrait utiliser plus d’énergie que son état le lui permettrait. L’univers n’utilise que son énergie, qu’il répartit suivant ses phases d’expansion. L’univers n’atteint jamais son point d’équilibre, soit il s‘en approche, soit il s‘en éloigne. Le Néant, seul, ne pourrait pas rester dans cet état sans énergie. Cet équilibre est impossible, aussi étrange que cela puisse paraître. Il est beaucoup plus simple, et cela avec peu d’énergie, qu’il y ait quelque chose plutôt que rien. Il est beaucoup plus économique de laisser l’énergie libre, et vibrer, que de vouloir le maintenir figé. Retirez l’énergie de l’Univers, il n’y a plus d’Univers. Alors, le Néant deviendra aussitôt concret et s’effondrera à son tour sur lui-même, ne pouvant rester dans cet état d’équilibre parfait. Cela n’empêche pas l’Univers de se servir du Néant pour économiser son énergie. Cela permet également au Néant de rester dans cet état virtuel d’équilibre.

Le Néant=pas d’Espace/Temps, pas d’énergie seulement si un autre état dans une autre dimension régule en permanence cet état d’équilibre

Espace, le temps ou Espace/Temps ?

Espace/Temps

Espace/Temps: l’ensemble des valeurs géodésiques ou spatiales d’un système fermé suivant les axes X, Y, Z, et T, quand les valeurs entre ces points ne sont pas nulles et à un présent donné. Mais c’est aussi chacune de ces valeurs prises séparément. Ex: un salon est une pièce fermée, possédant différents meubles, et bibelots, disposés en différents endroits. Mais c’est aussi chacun de ces meubles prit séparément. Le fauteuil fait partie du salon, et l’acarien qui vit dans l’un de ses cousins aussi. Même si pour lui, son univers se résume à ce cousin, et à son temps de vie limité. Ou, comme précédemment, comparé à l’océan et à chacune de ses gouttes d’eau, tantôt dans l’eau, tantôt dans les nuages, parfois dans l‘hémisphère nord, parfois dans l‘hémisphère sud. Chacune des gouttes d’eau de l’Océan peut être comparée à un Espace/Temps spécifique faisant partie d’un tout. Retirez l’eau, il n’y a plus d’océan, retirez l’énergie, il n’y a plus d’Univers.

 

Espace ou Temps : Le temps, ou l’espace, sont les valeurs de l’univers dans leur totalité. C’est l’ensemble mais aussi chacune de ses parties. L’espace et le temps n’ont de valeur, que si, et seulement si, dans leur Espace/Temps, l’énergie active leur en laisse la place. Mais c’est aussi chacune de ces valeurs prise séparément, soit dans le temps, soit dans l’espace, mais pas observables ensembles, dans l‘infiniment petit et dans l‘infiniment grand. L‘espace peut être pris comme une valeur de grandeur entre les axes X ,Y ,Z. Le temps peut être pris comme une valeur de durée (Le temps qui sépare deux évènements, ou le temps qu’il faut pour aller d’un point A un point B. le temps peut être considéré aussi comme valeur de distance. Le temps est aussi l’ensemble de ces valeurs. Mais le temps peut également varié suivant le champ d’énergie qui le baigne. Le temps est la fréquence qui sépare deux évènements distincts. L’espace est la longueur qui sépare deux évènements distincts. Une Onde/Énergie peut être mesurable par sa longueur, et quantifiable par sa fréquence. L’Espace/Temps peut être mesurable par sa longueur, et quantifiable par sa fréquence. Il est lui aussi sensible à son champ d’énergie. Le temps et l’espace sont deux valeurs exprimant l’état d’un même système, mais dans deux dimensions différentes. (Comme la foudre que l’on voit, et le tonnerre que l’on entend.) L’une est dans le temps, l’autre est dans l’espace.

(On peut photographier un événement du présent, mais la photo prise sera aussitôt celle du passé. Donc, on ne peut pas photographier le présent. Photographiez une amie adossée à une colonne du panthéon une nuit d’été. Vous appuyez sur le déclencheur dans votre présent. La photo tendrait à prouver que votre amie, la colonne, et les étoiles dans le fond font parties d’un même espace temps. Votre amie de 20 ans, la colonne de 2 800 ans, et les étoiles âgées de plusieurs milliards d’années. Cela est vrai, cette image fait partie de votre espace temps. Mais seulement du votre et de votre amie, et de tout ce qui vous sont proches. Car les étoiles qui brillent dans le ciel, rien ne vous dit qu’elles existent encore aujourd’hui, pourtant, vous les voyez et les avez même photographiées*. Vous pouvez localiser l’origine de la lumière des étoiles, mais rien ne vous dit que la cause soit encore là, que les étoiles existent encore. Vous ne pouvez que vérifier l’effet, en supposant la cause. Un extraterrestre sur une planète proche de ces étoiles, aurait pu les voir, alors qu’elles brûlaient encore de l‘énergie, il y a quelques milliards d’années. Il aurait même pu prendre en photo son amie, avec le ciel nocturne en en fond d’image, et en visant dans votre direction. Sur sa photo, le soleil n’y brillerait pas encore, car il ne serait pas encore né. Dans cette hypothèse là, il ne pourrait en aucun cas nous localiser, ni imaginer notre présence future. Le facteur de réciprocité ne s’appliquerait donc pas. Donc, on ne peut pas observer un évènement qui s’est déroulé dans un espace et un temps différent du notre. Comme on ne voit que la colonne, souvenir d’un empire passé. La lumière qui brille dans le ciel, n’est pas statique. Déjà, c’est votre cerveau, via votre œil, qui perçoit des scintillements devant sa rétine. Ces scintillements sont le fait d’incessants stimuli qui font vibrer tous ces successifs espace temps, qui partent de la cornée de votre œil, jusqu’à la voûte étoilée, pour ce perdre dans l‘Univers. Dans l’infiniment petit, on peut calculer l’effet, sans pouvoir en voir la cause, ou en voir la cause, sans en pouvoir en calculer l’effet. On peut même voir deux effets d’une cause unique, sans pouvoir en localiser cette cause. Déjà, on a une mauvaise approche de l’énergie en la considérant comme un corpuscule ondulatoire. Il faudrait séparer l’onde, de l’énergie qu’elle transmet. Une onde lumineuse, par exemple, ne vous parvient pas perpendiculairement, mais parallèlement. Comme une vague qui viendrait percuter la digue d’un port. Une onde, comme la vague, transmet de l’énergie sur chacune de ses amplitudes. Ce n’est pas la vague qui bouge en soi, mais c’est l’énergie de la vague qui se transmet à l’eau environnante, et qui en fait une nouvelle vague. On ne pourrait pas définir l’énergie de la vague comm

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